Voici un extrait d'un livre que j'ai vraiment apprécier qui fais divers liens entre les cultures spirites et les diverses religions du monde. C'est assez intéressant ^^.
La Religion et la communication avec les morts.
Depuis toujours, l’homme se pose des questions existentielles. Dans celle-ci, une reviens fréquemment : Que ce passe-t-il après la mort. C’est par le Spiritisme, que certains ont tenté de comprendre et de trouver les réponses a leur questionnements.
Nous pouvons constater que certains rites ont eue beaucoup de liens avec les morts durant certaines époques. On déposait par exemple de la nourritures, des flèches, et même des fleurs pour apaiser les morts dans l’au-delà, totalement inconnu, donc forcément angoissant.
Certaines traditions spirituelles des religions ont été élaborée pour celles qui croit en l’existence d’un au-delà. Certains, par leur rituel permettent cette communication entre les défunts et les vivants.
ANTIQUITÉ OCCIDENTALE
En occident, il fut un temps où communiquer avec les morts était une chose banale, voire nécessaire, pour les apaiser d’abord, et surtout leur demander conseil. C’était avant l’arrivé du christianisme. Des pays nordiques à la Grèce en passant pas la Gaule et bien sûr Rome, des classes des Prêtres et plus fréquemment des prêtresses, officiaient dans les temples à la demande des fidèles pour convoquer les mânes des ancêtres.
En Gaule, les druides invoquaient régulièrement les morts dans les enceintes de pierre édifiées en pleine nature. Peuple et souverains les consultaient.
Dans la Grèce antique, l’évocation des morts était codifiée, la communication avec les défunts faisait partie intégrante de la religion, elle disposait de ses prêtres, de ses temples, et même de sa fête annuelle qui n’est pas sans rappeler, elle aussi, notre jour des Morts.
A Rome, ce sont les prêtresses, nommée « sibylles » qui donnaient des informations aux empereurs par le biais des esprits qui dictait la destinée. C’est après que l’Empereur fut converti au Christianisme que le « Spiritisme » de l’époque fut désormais interdit et les temples furent tous détruits.
Rituel du Mudus :
Dans chaque ville Romaine se trouvait un mudus; un grand trou qui symbolisait le passage des âmes de l’autre monde a notre réalité. En fait, ce « trou » servait uniquement en jour de fête.
LE MOYEN-ORIENT ANCIEN
EN Egypte, des fortunes étaient englouties dans les funérailles, les offrandes au défunt et les cultes funéraires, dans le seul but de satisfaire le mort afin qu’il ne revienne pas s’en prendre aux vivants. Les Egyptiens croyaient que parfois le mort tenterait de revenir tourmenter certains membres de sa famille et ils avaient divers rituels pour éliminer la présence d’un tel être. Les egyptiens avaient beaucoup de croyances qui liaient les morts à la réalité. On tentait d’éviter le mécontentement de ceux-ci.
LES PREMIERES GRANDES TRACES
Quand on ne possède pas de moyen scientifique de comprendre, on se tourne souvent vers la spiritualité mais aussi vers les esprits qui semble être une porte vers le savoir. Dans certaines civilisations plus reculées de la société on peu remarquer divers traits commun.
Le premier est le rythme d’un instrument a percussion. Cette musique crée un mouvement sonore qui alerte les esprits et les convie a rejoindre l’assemblée réunit pour le rituel.
D’un autre optique, on permet aux esprits de communiquer spontanément aux vivants par l’intermédiaire du rêve. Les esprits pouvaient ainsi envoyer des messages, des demandes ou même donner des menaces aux gens pendant leur sommeil. C’est les « chamans » qui décryptaient leurs messages.
En Afrique, le rite du « Kasab » consiste a interroger le disparu sur les raisons de son décès. Porté par les guerriers, il guide leurs gestes pour répondre par l’affirmative ou la négative aux questions qui lui sont posée
UNIVERS CHINOIS
Dans la religion populaire chinoise le culte des ancêtres est axé sur la pratique du spiritisme. Selon elle, il y a deux type d’âmes : les « po » ( Sept âmes inférieures ou matérielles qui subsistent dans la tombe et dans les tablettes funéraires) puis il y a les « huns » ( trois âme supérieures ou spirituelles qui s’élèvent au Ciel après la mort et comparaissent devant les tribunaux des Juges infernaux.
Entre les « po » et les vivants, la communication est permanente. Sa qualité est conditionnée par les offrandes de fleurs, de fruits et de riz posées en permanence devant l’autel, et par le respect dont témoignent les vivants a l’égard des morts. Des « po » bien entretenu interviendrons sur les choses courantes de la vie, assureront aussi la prospérité familiale éclaircirons les malheurs et éloigneront les esprits malfaisants. La fête des Délivrances est d’ailleurs organisée dans les temples et les maisons. Cette fête qui a lieu dans plusieurs pays d’Asie, célébrant la journée ou les âmes de mort et celle des humains se côtoient
JUDAISME
Il existe une communication avec les esprits dans le Judaïsme, mais cette dernière est fortement interdite. En fais, toute tentative de communication se résume a violer une loi biblique et entraîne des énormes conséquences sur la famille du pratiquant spirite. On croit a l’existence des esprit mais ont détourne le culte seulement sur Yahvé.
LE CHRISTIANISME
Bien que fondé sur les trois bibles et sur le message evangelique, les doctrinces catholiques, orthodoxe et protestante, ont des approches différentes de la communication entre les défunts.
Pour les catholiques et les orthodoxes, la possibilité de communiquer avec les morts ne fait aucun doute. Après s’être séparées du corps, les âmes conservent en effet une conscience individuelle qui les rend tout a fait aptes a apprécier leur devenir : L’élévation vers Dieu pour les meilleurs d’entres elles, l’enfer ou le Néant pour les plus mauvaises, et enfin, pour la majorité, le purgatoire qui est une sorte de passage purificatoire. L’Église Catholique affirme donc que la relation entre les vivants et les morts est réelle et même souhaitée par Dieu. C’est une communication a double sens : Les prières des vivants peuvent aider les défunts et, en réponse, les intercessions des défunts sont rendues plus efficaces. La mise en œuvre de moyens articifiels pour communiquer avec les morts n’est pas condamnée de manière formelle par les autorités Vaticanes ( C’est le spiritisme en tant que Doctrine qui l’es ). Ils demandent simplement de faire attentions aux mauvais esprits qui regroupent les anges noir mais aussi les démons.
ISLAM
Pour les théologiens, il n’y a aucun doute que les musulmanes sont en pertpetuelle communication avec les défunts dès que ces âmes se sont retrouvé dans l’au-delà. Il y aurait sept « bon » paradis qui sont guidé par l’archange Gabriel jusqu'à Dieu. Mais il existe aussi un enfer pour les mauvais où cette fois, c’est Azraël qui s’occupe d’eux jusqu’au jugement dernier.
On encourage les vivants a communiquer avec les morts pour se confier et demander conseil. On crois, dans cette religion que les morts possède le savoir et qu’ils indiqueront les bons choix a prendre par des signes ou des prémonitions. Toutefois, tout se doit d’être fais dans la prière et la foi, puisque la « charia » condamne tout autre moyens artificiels.
Le Spiritisme, Djénane Kareh Tager, Edition Bibliothèques des Spiritualités PILON, France, 2006. 135 pages.
Sujet: Le Spiritisme et les Religions du monde 
Mar 17 Juil - 20:55
